Ukraine, la négo de tous les dangers

A défaut de son humanité, on ne peut reprocher à Donald Trump son manque d’opiniâtreté. Cependant, sa fébrilité à stopper la guerre de la Russie contre l’Ukraine risque de nous coûter cher, à nous Européens. Le président américain ne lâche pas le morceau : il privilégie clairement l’approche de « l’écurie » Steve Witkoff et JD Vance son vice-président, à celle de Marco Rubio, pourtant ministre américain des affaires étrangères.

C’est d’ailleurs Witkoff qui reçoit début décembre la délégation ukrainienne, convoquée plus qu’invitée en Floride, pour discuter de l’avancée du projet élaboré en étroite relation avec la Russie. Un projet qui consiste pour l’essentiel à octroyer une victoire à Vladimir Poutine, l’homme qui a fait de la Russie un « empire menaçant » sans pour autant arriver à venir à bout de la résistance ukrainienne.

Lire aussi : Sortir de la guerre en Ukraine, entre fébrilité et réalité

Plusieurs dirigeants européens se réunissent le 08 décembre à Londres avec Volodymyr Zelensky qu’ils ont convaincu de ne pas se rendre en Floride où Donald Trump aurait pu quitter son parcours de golf pour briser tout espoir de négociation équilibrée en lui imposant sa solution, celle qui ferait de lui « l’homme qui arrête les guerres »… sans pour autant construire la paix.

L’impatience de Trump se retourne contre l’Ukraine tandis que Poutine ne concède rien

Zelensky et les Européens ont raison de s’inquiéter car Trump en a assez de discuter. Ainsi, il risque de sortir avec pertes et fracas de cette négociation qui dure depuis avant son arrivée au pouvoir début 2025. Poutine, ayant parfaitement saisi la volonté de son « homologue » américain d’aller au plus vite, a renforcé en conséquence ses exigences, tandis que Trump a déjà suspendu une partie des sanctions contre les deux principales compagnies pétrolières russes, sans avoir pourtant rien obtenu.

Par conséquent, pour qu’un accord soit trouvé, l’équipe composée d’affairistes menés par Witkoff et d’extrémistes de droite promus par JD Vance va essayer d’imposer à l’Ukraine de céder puisqu’elle n’exige rien de la Russie, pour la préserver. En fait, deux points sont cruciaux à ce stade de la négociation : les garanties de sécurité (de l’accord) et le tracé de la future frontière entre la Russie et l’Ukraine, entre un empire expansionniste et la frontière de l’Europe encore libre.

Concernant les garanties de sécurité, il semble qu’un accord soit proche sur la base des propositions de la coalition des volontaires menée par la France et la Grande-Bretagne et qui rassemble une trentaine de nations, dont le Canada. Ces garanties reposeraient sur une armée ukrainienne en pleine capacité de se défendre et sur un engagement des « volontaires » à garantir sa nouvelle frontière. Mais, c’est là que le bât blesse.

Poutine veut toujours plus de territoires puisqu’il n’a qu’à demander pour les avoir

La Russie n’ayant aucune raison, dans ces conditions de négociation, de concéder quoi que ce soit, Poutine exige désormais – pour arrêter sa guerre – la cession complète du Donbass, mais aussi des régions plus au Sud, de Zaporijia et de Kherson. Il revendique ainsi près de 21 000 km2 quand les Européens espéraient que la discussion ne porte « que » sur les 6 000 km2 non envahis par la Russie du seul Oblast de Donetsk.

Le Monde

Ses nouvelles exigences ne sont peut-être qu’un pur argument de négociation, probablement conseillé par… Steve Witkoff, afin que Poutine puisse obtenir a minima sa « libération » du Donbass, soit les régions de Louhansk et Donetsk plus au Nord. La frontière pour la partie sud suivrait alors le fleuve Dniepr comme la ligne de front actuelle.

Poutine pourrait ainsi « concéder » des parties au sud de l’Ukraine – 15 000 km2 dont il ne dispose pas – pour obtenir la partie du Donbass qui lui « manque », à savoir 6 000 km2 dont son armée n’a conquis que 160 km2 en novembre, malgré la quasi-conquête de la ville de Pokrovsk.

@PouletVolant3

A cette vitesse là, alors que l’armée russe s’est concentrée sur le Donbass avec des pertes effrayantes, il faudrait à Poutine attendre encore 3 à 4 années de combats acharnés pour conquérir le seul Donbass…

Mais la population ukrainienne est épuisée par cette guerre, les Européens restent tétanisés à l’idée de s’organiser collectivement pour se défendre et les Américains ne cachent plus leur volonté de reprendre leur business avec la Russie de Poutine.

Des pays européens trop dispersés pour que l’Europe puisse contrer ces menaces

Face à l’effort dispersé des pays européens qui refusent dans les faits de s’unir, Poutine multiplie les provocations. En Irlande des drones militaires sont venus croiser la route sécurisée de l’avion qui transportait le président Zelensky, en route pour une rencontre officielle. Ces drones ont été détectés trop tard et n’ont pas été interceptés.

Le Monde

En France, deux jours plus tard, des drones ont fait une intrusion dans l’espace hyper protégé de l’Ile-Longue en Bretagne, la base des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE), les lanceurs de missiles nucléaires qui fondent la dissuasion du même nom pour la France. De fait, si ces drones avaient pénétré dans les impressionnants hangars à sous-marins destinés à les protéger d’un bombardement extérieur, le risque pour les trois submersibles stationnés à l’intérieur des bâtiments (le quatrième étant toujours en mer) était colossal. Ces drones auraient pu en effet endommager dangereusement notre seule défense contre les plus de 200 menaces d’attaques nucléaires proférées par notre ami Vladimir Poutine et son cercle, depuis le début de la guerre en Ukraine.

Ces vols de drone en Irlande comme au-dessus de l’Ile-longue ne sont plus des manœuvres d’intimidation, mais des agressions caractérisées dans la confrontation permanente opposant désormais tous les soutiens de la résistance ukrainienne face à la Russie, qui revendique la liberté d’agresser et d’imposer sa « loi du plus fort ».

Pourquoi accepter en France que Cnews soit le Russia Today d’un empire menaçant notre existence même ?

A ce sujet, il faut noter l’incapacité de nos nations européennes dispersées à se défendre, en commençant par cette guerre de l’information qui fait rage. En France par exemple, plus d’une année a été nécessaire pour interdire la chaîne de propagande de Poutine Russia Today, puis une année encore pour qu’elle soit réellement fermée… avant que sa directrice Xenia Fedorova soit embauchée par la chaîne Cnews, où elle est payée pour continuer à relayer la propagande du Kremlin au sein de ce qui était considéré comme de grands médias français (Europe 1, le journal du Dimanche…). Comment pouvons-nous accepter que Cnews soit le Russia Today d’un empire qui menace notre existence même ?

L’Union des pays européens volontaires est le seul obstacle de taille et donc crédible face à ces nouvelles formes « d’impérialisme »

Autrement dit, tout est en place pour que Trump essaye d’obliger Zelensky à céder le Donbass à la Russie de Poutine. Tout est en place pour que les États-Unis de Donald Trump déstructurent ce que nous avons eu tant de mal à bâtir comme Union (économique) européenne, qui est devenue aujourd’hui le seul obstacle de taille et donc crédible face à ce qu’il faut bien appeler une nouvelle forme « d’impérialisme » américain et russe, particulièrement dangereux pour notre avenir, nos valeurs et nos modes de vie.

Je ne sais pas si nous pouvons encore faire quelque chose pour le Donbass – nous n’avons eu « que » quatre ans pour réagir efficacement et s’unir sur la question –, mais je sais qu’il nous faut gérer autrement notre « politique de sécurité » si nous voulons encore exister face à ces empires menaçants qui eux n’ont plus aucune hésitation à organiser notre soumission.

Et la solution est d’abord politique avant d’être militaire ou financière : avons-nous la volonté de nous unir entre pays européens qui le souhaitent pour assurer notre propre sécurité et défendre notre liberté ?

Le Monde



Pour approfondir,

La stratégie de sécurité nationale américaine prend les Européens pour cible et ménage les adversaires des Etats-Unis, par Piotr Smolar (Le Monde)


Guerre en Ukraine : les Européens, alliés ignorés et humiliés par l’administration Trump, par Elsa Conesa, Claire Gatinois et Philippe Jacqué (Le Monde)



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27 commentaires sur “Ukraine, la négo de tous les dangers

  1. J ai bien lu ton article ;pour moi ,la pubication du
    « decretde politique generale « de D. Trump § co ,est ressnti au moins
    comme un divorce peut etre meme comme une trahisson des valeurs – phare
    de la civilisation , a savoir : la Liberte .la Verite .et l Equite…ce
    document us du 5 dec . 2025 marque un (mauvais )tournant dans l Histoire
    …bien a toi. Patrick

    l

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  2. Pourquoi chercher un accord avec Poutine qui n’en a respecté aucun depuis le memorandum de Budapest signé par son prédécesseur ? Pourquoi ne pas arrêter ou au moins expulser les propagandistes comme on prétend le faire de chercheurs comme Laurent VINATIER en Russie ou de journalistes sportifs comme Christophe GLEIZES en Algérie ?

    La loi du talion que je critiquais en Palestine n’est certes pas la meilleure lorsqu’elle y tue à grande échelle mais, entre puissances souveraines, il me semble qu’il faut parfois y recourir quand des drones survolent impunément Eurenco, l’Ile Longue, Creil ou bientôt nos aéroports civils, après ceux de nos voisins.

    Nous subissons toujours plus de harcèlement téléphonique, hacking, violations de données, ransomware sans apparemment aucune riposte, que ce soit de sites publics ou privés dont l’un continue comme par hasard de faire des affaires en Russie avec des bases de données sans doute similaires…

    Quand toutes ces données seront utilisées, d’abord à notre insu, pour susciter des polémiques nominatives ou commettre des vols avec tous les numéros de téléphone, adresses et courriels saisis, se rendra-t-on enfin compte du rôle de ces chevaux de Troie, et pas qu’informatiques, quand ils interfèreront avec nos bases financières, d’imposition, de véhicules ou de sécurité sociale ?

    Le pire n’est jamais certain mais nos réseaux militaires, d’infrastructure, d’approvisionnement, d’énergie, de fourniture d’eau n’ont pas besoin d’être physiquement détruits pour être corrompus ou interrompus, en affectant durablement la vie de notre nation et les décisions de nos décideurs déjà si indécis, sauf de réunir des volontaires dont on peut douter d’une autre volonté.

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  3. Analyse parfaitement lucide sur la paix de Trump et ses acolytes , de leurs amis Russes…..

    En face si nous ne réagissons pas plus fermement L’Europe et malheureusement L’Ukraine seront

    les perdants de ces accords de <Paix>

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  4. Tout à fait d’accord Guillaume
    Je trouve même que Trump a du sang ukrainien sur les mains ;
    Cdt
    Pierre

    Pierre Fouques Duparc
    President of Insead Alumni France

    Managing Partner at Boyden
    Global Leader of Technology and Professional Services Practice
    boyden
    57 Rue Pierre Charron
    75008 Paris
    France
    t) +33 1 44 136 707
    m) +33 6 85 52 54 91

    http://www.boyden.comhttps://www.boyden.com/pierre-fouquesduparc/index.html

    https://blogs.insead.edu/france-iaa/
    https://www.eventbrite.fr/d/france–paris–85683497/insead-alumni-association-france/
    https://www.youtube.com/@IAAFchannel
    https://www.linkedin.com/company/insead-alumni-association-france/

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  5. Merci beaucoup Guillaume. Je crains que sur ce sujet-ci, aucune surprise ne nous attende, hélas. Pas même celle des scrupules amenant à un peu de discrétion, à cacher la réalité de la perspective. Un peu écrit d’avance, non ?…

    Si un café ou un verre te dit dans la semaine, je te laisse me proposer une ou deux options ? Voir avec toi si rien ne te dérange dans la liste d’éventuels destinataires, dans le partage de ton blog.

    Amicalement, Sylvie Matton

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  6. Donald Trump n’a guerre changer de fusils d’épaule depuis plus de deux ans, favorisants la Russie et mettants sous pression l’ukraines en commençant par bloquer le soutient des USA pendant de long mois avant que les élues Républicain face au risques d’éfondrement de l’Ukraine et de victoire de la Russie ne finissent par voter 60 milliard d’aide. C’est d’ailleur bien ses élues qui préfère l’intérêts des USA à la tutelle Russe, qui entrave Doinald Trump et ses « envoyer » dans leur volonté de faire pliéer l’Ukraine, et démontrer par la même leur fidélité à Vladimir Poutine.

    Ainsi Donald Trump ne cesse d’alterner menace de sanctions contre la Russie quand il a besoin du vote des élues américains et retournement de veste dès qu’il se sent un peu moins sous pressions…

    Pourtant même si ils parvenaient à son rêve de soumettre son pays à son idole du Kremelin, il est peu probable que les effets pour l’Europe ou l’Ukraine s’aggravent considérablement, car entre faire des cadeaux sur le dos des Ukrainniens (par la menaces et les promesses au Russes) et faire accepter un soutient à la Russie par la livraison d’armes voir l’envoie de troupe américaines pour épauler au coté de la Corée du Nord l’armée Russe et entrenir le « hachoir à viande » il y a un goufre que le président des USA et les extrémistes qui le conseillent sont loin d’avoir la capaçité de franchir. Même si leur ami Vladimir Poutine leur promets de les rattrapper s’ils sautent, leur destin risque fort de se retrouver au fond du goufre s’ils s’y essayent…

    Salutation, Ludovic Melin.

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  7. Je suis un indécrottable optimiste…

    Après Staline de 1945 à 1953,   Poutine et Trumpov  sont les puissants  moteurs de la construction  de L’Union Européenne de Défense. ( nous n’avons pas et plus le choix ! )

    Rien ne se fera en Ukraine sans l’Ukraine et les pays européens ! Les Ukrainiens sont fatigués : peut-être ….mais ils tiendront pour leur Patrie ( ne pas oublier que l’Allemagne a tenu sous les bombes anglo-saxonnes de 1942 à 1945 ! Il a fallu que l’infanterie russe, soutenue par le matériel et le renseignement occidentaux  prenne Berlin pour arrêter la guerre en Europe ! Et ces deux dernières années  ont été les plus meurtrières pour la population et l’armée allemandes jusqu’ au – boutistes. 

    L’avenir peut nous réserver des surprises , qui sait : Poutine ou/et Trumpov malades , les républicains US battus à mi-mandat, l’opinion publique US se retournant sur Trumpov après l’abandon des Alliés traditionnels ( Europe ,Canada, Japon, Corée du Sud, Taiwan,…),  un nouveau président en Ukraine encore plus déterminé que le précédent, etc….

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  8. Habituellement calme et mesuré sur les informations que j’apprends, votre article m’a profondement touché, voir bouleversé.

    Nous, Français ( et Européens par extension) ne semblons plus à la traine… mais carrément largués: Devant un Poutine qui se permet des actes intolérables sur notre sol ( drones, guerre hybride) et celui de l’Irlande, devant nos dirigeants qui restent les bras ballants face à un holding de l’information dans notre pays ( ou plus justement propagande)… je demeure totalement incrédule quand à notre immobilisme, notre gentillesse.

    Certes, notre nation est pour partie de culture catholique, et, tendre l’autre joue pourrait relever d’un atavisme societal, mais il me semble que rester sur de tres civiles traditionnelles et surtout pleutres « condamnations fermes » de ces actes me parrait relever de l’inconséquence, de l’irresponsabilité. Sans pour autant declarer de guerre, il semble évident qu’une réaction musclée et sans appel devrait etre le B.A Ba de ces actes, d’autant plus en connaissant la psychologie du camp Russe qji ne reconnait que la force. Votre livre « petites leçons sur la guerre » devrait etre un des livres de chevet de tous les citoyens Européens. Ce soir, pour la premiere fois de ma vie (49 ans), je commence à serieusement douter de la capacité de notre pays à maitriser son avenir qui semble plus sombre. Nos dirigeant m’apparraissent ce soir peureux et faibles. Je m’etonne de dire cela et espere de tout coeur me tromper.

    Encore un grand merci pour vos articles.

    Respectueusement

    T. Donnadille

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    1. pas un mot pour condamner la politique US trumpienne .

      avec leurs soutiens locaux RN+LR + Bloc central macronien ….

      qui nous amene droit dans le mur ..

      ETRANGE ? qui denonce POUR qui ?

      Sergio

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  9. Entièrement d’accord avec cette analyse. Dans la situation qui se précise, est-ce de la démocratie ou de l’aveuglement naïf qu’accepter les manipulations médiatiques d’une ultradroite qui se rêve probablement en néo pétainisme de l’impérialisme russe ?

    Sans oublier les menées plus souterraines des pro russes (et pro chinois !!!) de l’ultragauche.

    D’autre part, le minuscule « service militaire » annoncé par le président Macron est-il une réponse appropriée à la menace guerrière russe ?

    Christian GUILLAUME (génération service militaire sous la forme service armé).

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  10. pardon, j entrevois une contradiction dans votre analyse. TRUMP opiniatre ??? Certes, esperant ses DEALS, son Nobel de la paix. Mais fébrilité encore davantage. Mon avis sa tête est emplie de VACUIM mêlé au CHAOS…Erratic c est un euphémisme

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  11. Bonsoir Guillaume

    c’est une très bonne question. Un drame qui se joue à nos portes et qui risque de nous ensevelir tous. Ce n’est plus une guerre économique c’est aussi la perte des valeurs de l’Europe. Nos valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité foulées au pieds par des extrémistes de tous bords. Hélas !Bien à toi Guillaume et merci pour ce billet

    Aimé par 1 personne

  12. Guillaume,

    Je me suis fait violence pour lire ton papier qui contient à peu près tous les poncifs entendus sur BFM alias Télé Macron. Je te remercie de ne plus encombrer ma boîte avec ces publications que je ne lirai plus.

    GC

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    1. Ce monsieur CHALOCHET a entièrement raison de vouloir ne plus lire ce blog. Vu que le contenu dépasse visiblement sa capacité de voir plus loin que l’endoctrinement par l’ultragauche ou l’ultradroite.

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    2. Vos propos son très étranges, d’abord des arguments ou des positions sont assoçiées à des courant de pensées certes mes l’être humains est complexes et c’est idées s’entrecroises mélant façilement plusieurs courants parfois contradictoire. Ainsi dire que vous ne partager pas l’idéologie d’un parties ou d’un individue ne donne en rien votre positions ni vos argument. Par exemple personnellement je m’estimes de gauchen, notament parsque je considère l’intérêts du groupe comme étant mon intêrets ainsi j’estime que si une déçisions bénéfiçie à tous par ricochets j’en serait bénéfiçiaire.

      Pour autant je ne suis pas d’accord avec bon nombre d’idées politiques de presques tout les parties politiques ; ainsi je ne considère pas qu’ils ne faut « qu’imposer les riches  » d’une part parsque c’est une notions relative mes aussi parque chacun se doit de partiçiper au collectif qui profite à tous qui est l’état et cela passe notament par ses bugets, je suis également contre l’augmentations du temps de travail mais pour l’immigrations, considèrant qu’il n’y a pas de différence entre déménager d’un quartier à un autre ou d’un pays à un autre, vue que les frontières ne sont a priori que des constructions soçiales….

      Brefs ils est bon de faire des efforts pour prendre des informations qui ne converge pas avec nos idées car celle-çi ne sont pas des romans pour nous satisfaire mes un rappel de la réalité, par contre proclamée qu’on ne le fera plus c’est se couper des autres et s’enfermer dans un entre soi pouvant être réducteur, voir limitant nos capaçités à appréhender la situation. Salutation, Ludovic Melin.

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      1. Monsieur Melin, pour vous faire comprendre, utilisez un bescherelle et un dictionnaire, at abandonnez la saisie automatique sur votre portable SVP!

        Merci

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